Le Blog de BluePaid

Le service du mois : Paquet-Plus #in

Parmi tous les outils marketing offline dont dispose l'auto-entrepreneur, l'asilage (ou asile colis) joue un rôle prépondérant à condition et de connaître son existence et de trouver le bon partenaire/prestataire.

Ce n'est pas en soi une technique nouvelle, mais c'est un outil fiable dans l'acquisition de nouveaux clients.

Qu'est-ce que l'asilage ?
Pour les expéditeurs (ou distributeurs), l'asile colis représente une possibilité intéressante de réduire leurs frais d'envoi et en même temps de provoquer une expérience acheteur positive en proposant à leurs clients une valeur ajoutée.

Jusqu'à aujourd'hui, l'asile colis était réservé soit aux gros expéditeurs pour leurs propres marchandises, soit à des collectifs d'entreprises qui, ensemble, émettaient ces coupons sous forme de carnets mutualisés et les mettaient à disposition pour les expéditions de leurs partenaires.

Aujourd'hui, nous vous présentons PaquetPLUS qui propose un business model ouvert à tous grâce à la mise en réseau des capacités de distribution de vendeurs en ligne de toutes tailles.

Le concept profite à chacun :

• annonceurs et distributeurs de toute taille font la richesse d'un tissu actif et étendu de vendeurs en ligne ;
• réduction des coûts d’envois tout en proposant une valeur ajoutée aux clients ;
• ciblage plus fin de segments d'acheteurs en ligne actifs, selon une répartition sectorielle et/ou de genre, classe d'âge, CSP ou centres d'intérêt.

Qui est PaquetPlus ?
PaketPLUS a été fondé début 2009 par deux anciens salariés d'eBay, Alexander Schwinn et Bastian Mell.
Grâce à Vistaprint, les premières campagnes d'asile colis ont été lancées en Allemagne : à partir de 20 partenaires distributeurs vendeurs sur eBay, le réseau PaketPLUS s'est étendu à plus de 2 000 distributeurs avec plus de 4 millions d'envois par mois.
Plus de 300 campagnes avec plus de 50 millions de coupons en asilage ont été réalisées par PaketPLUS à ce jour, commandées par des partenaires annonceurs et expédiées par un réseau de distributeurs affiliés.
Fort d'un modèle économique qui a fait ses preuves, PaketPLUS s'est étendu au Royaume-Uni en 2010 sous la marque PackVERTISE puis à la France en 2011 sous la marque PaquetPLUS.

Pour en savoir plus et en quoi PaquetPlus peut être indispensable à la progression de votre entreprise, rendez-vous sur leur blog dont nous vous recommandons la lecture et plus particulièrement celle de l'article le B.A.-BA de l’asile colis pour un asilage réussi et Faire ou ne pas faire de l’asile colis, là est la question.

Bonne découverte de PaquetPLUS !

Soldes, c'est fini ! Bon cru pour le e-commerce.

Les soldes d'été se sont achevés hier. Si le bilan est mitigé pour le commerce en dur, 2012 est plutôt positif pour le commerce en ligne.

"Le cru des soldes d'été 2012 est bon", confirme la FNH, Fédération nationale de l'Habillement.

• les ventes ont progressé entre 3 et 8% selon les segments pendant les 5 semaines de soldes, grâce notamment à une météo clémente. Mais, les élections ont rendu les consommateurs attentistes et moins enclins à dépenser cette année, ajoute la Chambre de commerce et d'industrie de Paris (CCIP).

Les commerçants en ligne dans leur ensemble ont tiré leur épingle du jeu avec une hausse moyenne de 10% des ventes sur les 4 premières semaines, selon les chiffres de la Fevad, Fédération du e-commerce et de la vente à distance - après un bond de 20% en 2011.

• Les internautes ont davantage dépensé que l'année dernière : 113 euros en moyenne contre 109 euros en 2011.
• De grands sites annoncent une très forte croissance étonnante : +66% pour les vendeurs pro de PriceMinister, +40% pour Spartoo ou +32% pour le site de mode Brandalley.

Chez Bluepaid, mêmes tendances.

• hausse de plus de 20% par rapport à l'année derniere et une très légère hausse de 1% pour le mois de juillet 2012 par rapport a juin 2012 

La date de démarrage des soldes, le 27 juin cette année, plus tardive qu'en 2011, est une bonne chose car cela n'a pas gêné l'activité de juin, tout en boostant celle de juillet.
Que serait le mois de juillet sans les soldes !

C'est parti pour 5 semaines de soldes !

Mercredi, les soldes ont débuté dans un climat, et je ne parle pas de la météo, plutôt morose.

La veille, l'Insee avait en effet publié des estimations annonçant le net recul de la consommation de produits manufacturés et en particulier des produits d'habillement.

Pour ceux qui l'ignorent, il y a une cérémonie d'ouverture des soldes durant laquelle, la ministre déléguée à l'Artisanat, au Commerce et au Tourisme, Sylvia Pinel, a coupé le traditionnel ruban.
Elle a en profité pour relayer l'optimisme des commerçants et souhaité que les "consommateurs soient présents pour soutenir l'économie française".

En quelques chiffres :

• Les ménages prévoient de dépenser un peu moins que l'an dernier : 223 euros contre 259 euros à l'été 2011, selon un sondage Ipsos-Logica Business Consulting réalisé pour le Conseil national des centres commerciaux.
• Selon un sondage BVA-Le Parisien, ils pensent dépenser 227 euros contre 233 euros en 2011.

Le bilan de ce début de soldes est mitigé pour les boutiques physiques où la fréquentation est restée modérée.

Pour ce qui est des soldes sur Internet, il n'y a pas de cérémonie officielle. Pas encore ?
Mais par contre, l'ambiance y est plus optimiste, et cela semble avoir bien démarré.

Les gros sites ont "crié victoire" dès les premières heures, parlant de records de fréquentation.
Brandalley, par exemple, annonçait 1/3 de ventes en plus, et un panier moyen à 87 euros.
Sarenza parlait d'une hausse de moitié des commandes par rapport aux derniers soldes, mais un panier moyen en baisse de 3,5%.

Une nouveauté cependant, cette année on apprend que les soldes, les hommes adorent !

Chez BluePaid, nous avons décidé de donner un "p'tit coup de pouce" à nos clients avec en guise de ceremonie d'ouverture les frais fixes offerts sur toutes les transactions jusqu au 1er juillet, puis nous ferons d'autres promotions pendant toute la durée des soldes.

Rendez-vous fin juillet pour un bilan plus définitif.

 

E-commerce : la croissance se maintient au 1er trimestre 2012 #in

La Fevad, Fédération du e-commerce et de la vente à distance a publié mi-mai son bilan du 1er trimestre 2012 sur la base de son enquête trimestrielle.

Quelques chiffres encourageants :

• Plus de 10 milliards d’euros ont été dépensés sur internet au cours du trimestre sur plus de 104 100 sites e-commerce, soit 18 800 de plus qu’il y a un an.
• Sur un an, les ventes en ligne ont augmenté de 24% avec un montant total estimé à 11 milliards d’euros sur la période.
• Le nombre de transactions progresse quant à lui de +30%
• Au total, la France compte 31 millions de cyber-acheteurs avec un nombre de cyberacheteurs en augmentation de 11% au premier trimestre.
• L’arrivée des 65 ans et plus se confirme avec une augmentation de 22%.

Moins bonne nouvelle, au 1er trimestre 2012, le panier moyen baisse de 4% et descend à 89 €, il était à 92 € au même trimestre de l’an dernier.
S'il s’agit du niveau le plus bas enregistré depuis 2009, cette baisse est toutefois compensée par la hausse du nombre d’achats  par acheteur.

A titre de comparaison, chez Bluepaid le panier moyen est stable et le flux moyen par commerçant est en augmentation de 16%.

A noter, le Panel iCM (indice commerce mobile) qui représente les ventes sur smartphones et tablettes numériques se développe rapidement avec une croissance de 195% au 1er trimestre 2012 par rapport au 1er trimestre 2011. En moyenne, les ventes sur mobiles des sites participant à l’iCM représentent 3,5% du chiffre d’affaires internet des sites.

Malgré la crise, ce bilan positif du e-commerce en France au premier trimestre reste plutôt encourageant pour le secteur. Espérons que la suite de l'année se poursuivre sur cette lancée avec, nénamoins, un retour à son niveau habituel du panier moyen ...

 

Vers la suppression des chèques bancaires ?

C'est un rapport du CCSF, le Comité consultatif du secteur financier sur l'utilisation du chèque en France remis la semaine dernière à Bercy, qui recommande une réduction de moitié du nombre de chèques utilisés d'ici à cinq ans. Ce qui revient à programmer la mort du chéquier tel que nous le connaissons aujourd'hui !

Pourquoi ?  Parce que contrairement aux cartes de crédit ou aux virements, qui rapportent de l'argent aux banques sans ou quasiment d'intervention humaine, le paiement par chèque n'est pas assez rentable.

Les plus de 3 milliards de chèques coûtent plus de 2 milliards d'euros aux banques, soit entre 50 centimes à 1 euro selon les banques.

Et probablement en toile de fond, il s'agit également de lutter contre le développement d'acteurs d'origine non bancaire, comme PayPal, par exemple.

En contrepartie de cette disparition des chèques, les auteurs du rapport ont établi 20 propositions qui passent par le développement du paiement en ligne  avec par exemple la mise en place d'un dispositif interbancaire de paiement par Internet ou "la généralisation de l'utilisation du dispositif 3D Secure, le développement des moyens de paiement en ligne", considérés comme plus sûrs pour les consommateurs et moins onéreux pour les banques. Plus sûr, peut-être, mais en l'état actuel des choses parfois un peu trop compliqué à mettre en place.

Alors, exception culturelle française, le chèque reste encore très apprécié des Français. Toujours selon ce rapport plus de 18% des paiements ont été réalisés par chèque en 2010, pour une valeur moyenne de 555 euros, contre 17% par virement et près de 20% par prélèvement.

Rien n'est donc fait : si l’usage du chéquier recule effectivement en moyenne de 4 % par an depuis dix ans, 11% des Français déclarent qu’ils seraient très gênés par sa disparition pour régler de gros montants, les dépenses médicales ou encore tout simplement pour faire des cadeaux d’argent.

Pour en savoir plus sur le sujet : à lire, le décryptage avec Maxime Chipoy, de l'UFC-Que Choisir.

Et vous, vous avez des TIC ?

L'insee vient de publier les résultats d'une enquête sur les TIC (Technologies de l'Information et de la Communication) et le e-commerce. Quelques données remarquables sur les entreprises françaises :

• 60 % déclarent posséder une connexion mobile à haut débit à l'internet avec au moins une technologie 3G.
• 58 % des personnes employées utilisent régulièrement un ordinateur ; cette proportion augmente avec la taille de la société : 48 % dans les sociétés de 10 à 19 personnes, 53 % dans celles de 20 à 249 personnes et 63 % dans celles de 250 personnes ou plus.
• Parmi les sociétés d'au moins 10 personnes, une sur cinq utilise un système d'exploitation libre.
• L'utilisation de logiciels libres destinés à la bureautique, comme Open Office, est encore plus fréquente : 43 % des sociétés y ont recours.
• Les systèmes d'exploitation libres sont plus répandus parmi les sociétés de grande taille, à l'inverse des logiciels de bureautique libres, plus présents dans les petites structures.
• neuf sociétés sur dix ont renseigné un formulaire administratif en ligne.
• moins de 10 % envoient des factures électroniques dans une structure standardisée appropriée pour leur traitement automatique

Concernant plus spécifiquement le e-commerce :

• 9 % des sociétés d'au moins 10 personnes ont reçu des commandes via un site web. 
• Pour les sociétés d'au moins 250 personnes, cette proportion est double.

La vente via un site web est plus répandue dans les secteurs de l'hébergement et de la restauration (22 % des sociétés), de l'information et de la communication (17 %) et du commerce (14 %). Pour les sociétés d'au moins 250 personnes, les secteurs les plus en pointe sont ceux du commerce (40 %) et de l'hébergement et de la restauration (36 %).

Le secteur du commerce réalise à lui seul 43 % du montant des commandes reçues via un site web et l'industrie 25 %. 

La totalité de l'étude est intéressante à plus d'un titre, elle propose un grand nombre de données sur l'e-administration, l'impact environnemental, le télétravail etc.

Bonne lecture !

L'Europe du E-Commerce en train de naitre ?

Sept organisations professionnelles nationales se sont réunies mi février à Paris pour décider de la création d'une Association européenne du e-commerce.

Basée à Bruxelles, elle devrait voir le jour au printemps prochain en mars ou avril prochain.

Ses membres fondateurs se composent de BeCommerce pour Belgique, la FDIH pour le Danemark, Netcomm pour l'Italie, Thuiswinkel.org pour les Pays-Bas, Norge Distansehandel pour la Norvège, Svensk Distanshandel pour la Suède, et la FEVAD pour la France.

Cette nouvelle association aura pour vocation d’œuvrer en faveur du développement du commerce
en ligne en Europe et pour mission de représenter les intérêts du e-commerce auprès des institutions
européennes et d’accompagner le développement du secteur en Europe.

Ses travaux se concentreront autour de trois thématiques :

• la régulation
• les paiements
• la logistique.

Enfin, l’Association travaillera également à l’amélioration de la connaissance du marché du e-commerce en Europe à travers la publication d’études et de travaux de recherche.

Une très bonne nouvelle pour tout le secteur !

Bilan e-commerce 2011 : +22% par rapport à 2010

La FEVAD vient d'annoncer les résultats du bilan e-commerce 2011.
En résumé, si l'on devait ne retenir que quelques chiffres pour cette année 2011, il y en aurait 3 :

• Plus de 30 millions de Français achètent désormais sur internet, 3 millions de plus qu'en 2010  soit, +11% sur 1 an 
• Ils ont dépensé 37,7 milliards d’euros en ligne soit +22% par rapport à 2010
• Sur plus de 100 000 sites marchands actifs  soit +23%

En détail, ce bilan repose à la fois sur les informations recueillies auprès des principaux sites marchands et sur le montant agrégé des transactions réalisées par les principales sociétés prestataires de paiement pour le compte de plus de 100 000 sites internet.

• 7,6 milliards d’euros ont été dépensés pour les fêtes de fin d’année, contre 6,3 milliards un an plus tôt.
• 420 millions de transactions ont été enregistrées contre 340 millions en 2010.
• Le montant moyen de la transaction est en recul de 1% sur un an avec 90 euros - si vous avez bien suivi, pour 91 euros en 2010 donc.
  A noter : à l’occasion des fêtes de Noël 2011, il a atteint le point le plus bas depuis la mise en place de la mesure en 2006 à 86 euros. Cette baisse du panier moyen étant compensée par l’augmentation du nombre de commandes.
• Au total, chaque acheteur effectue en moyenne 14 transactions par an, soit plus d’une transaction par mois et par acheteur pour un total de 1 250 euros par an et par acheteur.

Fait notable, le commerce mobile, m-commerce, est en hausse.

• Plusieurs sites du panel qui ont démarré la vente sur mobile au cours du 4ème trimestre 2010 et de l’année 2011 ont vu leurs ventes progresser de 215% entre Noël 2010 et Noël 2011. Les ventes sur mobile ont représenté 3% de leur chiffre d’affaires internet de Noël et 2% sur l’ensemble de l’année 2011.
• le panier moyen sur internet mobile est 25% inférieur à celui réalisé sur le site.

En 2011, la répartition des sites selon leur nombre de transactions mensuelles reste stable.

• 29% de micro-sites avec moins de 10 transactions par mois
• 44% de sites de 10 à 100 transactions/mois
• 27% de plus gros sites avec +100 transactions/mois.

Pour plus de chiffres, je vous recommande de visiter le site de la Fevad qui publie également ce jour le baromètre trimestriel de l’audience du e-commerce en France relatif au 4ème trimestre 2011.

Tous nos voeux pour cette année 2012 !

Tout l'équipe de BluePaid vous souhaite une excellente année 2012 ponctuée de nombreuses ventes, ainsi que la santé et l'inspiration pour mener à bien toutes vos entreprises !

Nos meilleurs voeux de réussite !

Illustration via

 

La France, pays des cartes bancaires

C'est une évidence quand on regarde autour de nous. Le paiement par carte bancaire que ce soit pour les retraits, les paiements en magasin ou pour les achats à distance sur Internet sont de loin la pratique la plus courante.

Bref tour d'horizon des carte bancaires en France.

Selon les dernières données statistiques de la Banque de France :

• le paiement par carte bancaire marque une progression de 1 % et représentait en 2010 43 % des paiements de détail en France.
• en 2010, 88,6 millions de cartes de paiement étaient en circulation en France, réparties entre cartes interbancaires et cartes privatives.
• 64,1 millions de cartes sont de type interbancaire (type CB) ont été à l’origine d’une valeur totale de transactions de 453,4 milliards d’euros (paiements et retraits cumulés).
• 24,4 millions de cartes sont de type privatif ont produit des transactions à hauteur de 19,1 milliards d’euros sans que ce type de carte autorise les transactions transfrontalières.

D’après l’étude Fevad / Médiamétrie/NetRatings, la carte bancaire reste le moyen de paiement privilégié pour les achats à distance effectués sur Internet :

• 85 % des internautes utilisent leur carte bancaire pour régler leurs achats sur le web
• 98 % des utilisateurs se déclarent satisfaits de ce mode de règlement.

Quid de la sécurité ?

Une évidence en matière de paiement par carte, le risque zéro n’existe pas.
Par contre, le taux de fraude reste très bas. En 2010, il était estimé à 0,074 %, marquant une augmentation marginale par rapport aux années précédentes (0,072% en 2009 et 0,069% en 2008).

Toujours selon les statistiques Banque de France, les cas de fraude portent essentiellement sur les transactions internationales pour 56 % des cas, lesquelles ne représentent que 10 % de la valeur des transactions par carte enregistrées dans les systèmes français.

Si les paiements à distance ne représentent que 8,6% de la valeur des transactions nationales, ils captent à eux-seuls 62% du montant de la fraude, dont le volume et la valeur ne cessent d’augmenter année après année, +23,8% entre 2009 et 2010 en valeur.
D’où une mobilisation générale des autorités pour instaurer des protocoles de sécurités tendant vers l'infaillible et évolutifs afin de ne pas pénaliser le développement du e-commerce.

Que dit la loi française ?

La loi de 2001 sur la sécurité quotidienne et la protection des consommateurs stipule que le titulaire d’une carte victime d’une contrefaçon de sa carte ou d’un paiement effectué frauduleusement avec ses codes, sans utilisation physique de sa carte, ne sera pas tenu responsable des sommes débitées.

Il sera remboursé par la banque dans les 30 jours de sa contestation et dispose d’un délai de 70 jours à partir de la date de l’opération frauduleuse pour la contester par écrit en donnant des éléments prouvant sa bonne foi.

Que dit l'Europe ?

En matière de lutte contre la fraude transfrontalière, tout repose sur l’application des spécifications EMV - Europay, Mastercard, Visa - en ce qui concerne la carte à puce.

Cela garantit aux utilisateurs de bénéficier d’un niveau de protection égal partout en Europe.

D’après les données de l’European Payments Council, fin mars 2011, 85,6 % des cartes interbancaires circulant au sein des 27 États membres de l’Union européenne étaient déjà conformes à la spécification EMV.

Un pas de plus vers la généralisation par les e-commerçants du paiement par carte bancaire sur leur site, quelle que soit la provenance géographique du client, avec, ça va de soi, une attention constante aux normes de sécurité visant à limiter les risques de fraude.